Place maintenant au « vin des rois et au roi des vins », j’ai nommé le Chambertin : Grand cru emblématique de la Cote de Nuits connu pour sa profondeur de texture et sa fine concentration.
Napoléon célébrait ses victoires avec ce même Chambertin dont il buvait également une demie bouteille par repas. C’est dire si depuis la nuit des temps cette appellation est connue.
1998 vient clore le trio d’exception pour votre plus grand plaisir. Et quel plaisir que celui de découvrir un millésime parvenu dans sa pleine maturité. Un millésime qui renferme de délicieuses senteurs de sous-bois, de venaison avec un bouquet qui esquisse même des senteurs truffées.
Au palais, le vin s’impose magistralement dans une chair veloutée, au soyeux élégant avec une longueur doublée d’une finesse rare.
Le terroir conservé en bouteille !
C’est un vin qui se suffit à lui-même tant il se montre riche en terme d’arômes et de finesse de texture.
Il pourra ravir vos papilles si vous le servez en compagnie d’un poulet au foin et de quelques pommes grenailles ou encore un civet de lièvre sauvage avec des petits pois à la française.